Pour la session 1 du projet, Violaine Lochu a produit une nouvelle performance intitulée t(h)races.
"À partir des lectures croisées de textes anciens et contemporains, dont notamment, Histoires d’Hérodote (V e siècle avant J. C) et Ce sexe qui n’en est pas un, de Luce Irigaray (1977), où sont abordées les questions des genres et du langage, Violaine Lochu « recrée » la langue du peuple semi-mythique des amazones. En se basant sur les études de la linguiste féministe, l’artiste élabore les protocoles d’un langage non phallocrate et les appliquer à une parole possible d’un peuple de femmes.
En partant d’un matériau puisé dans le réel (chant traditionnels féminins, japonais, grammaire etc...) la voix « trace » dans le langage des trajectoires au sens propre inouïes, tactiles, plurielles, circulaires, pour tenter de l’emmener vers un devenir-infini."
Ci-dessous une vidéos, des photographies et le livret qui accompagne la performance, nous permettant de comprendre le cheminement de pensée depuis le questionnement sur la marque du genre dans le langage jusqu'à la performance t(h)races.
Ci-dessous une vidéos, des photographies et le livret qui accompagne la performance, nous permettant de comprendre le cheminement de pensée depuis le questionnement sur la marque du genre dans le langage jusqu'à la performance t(h)races.
Violaine Lochu, t(h)races, performance, Le Commissariat, Paris, 2013 |
Violaine Lochu, t(h)races, performance, Le Commissariat, Paris, 2013 |
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